Photo : FC Photography
Chronique de danse
Se méfier des eaux qui dorment nous captive et trois facteurs contribuent à sa puissance : la conception chorégraphique, la gestuelle et l’interprétation des choix musicaux. Chronique de danse
Subtiles et délicats, ils amplifient le dessin chorégraphique devenant « Signes », un des propos du chorégraphe. Nous retrouvons beaucoup d’amour, de tendresse dans les portés. Les corps sont à la fois compressés, empêchés et engagés dans une physicalité exprimant aussi le sens de rébellion. Cela provoque un effet de surprise. Chronique de danse
La danse et la musique s’alimentent réciproquement tout en s’amplifiant. Le final respecte l’atmosphère ténébreuse qui nous fait frissonner : il fallait bien Se méfier des eaux qui dorment… peu importe, espérons revoir bientôt la pièce et surtout avec un public comblé qui emplit les salles. Chronique de danse
Quelle splendide audace et quelle harmonie ! En brouillant les pistes, Yvann Alexandre signe une œuvre remarquablement bien pensée et magistralement bien interprétée où l’émotion, l’humour, la puissance et la poésie traitent de thèmes inhérents au XXIème siècle." Sophie Lesort - Dansercanalhistorique