
« Avec Rhapsodie, le talentueux chorégraphe insuffle une forte dose d’énergie à notre langueur pandémique, en nous offrant une danse jubilatoire qui s’ébranle sans temps morts durant 60 minutes. » La Presse - Luc Boulanger
« Dans l’intimité de la salle de l’édifice Wilder, les danseurs du spectacle Rhapsodie, de la compagnie Sylvain Émard Danse, nous conviaient presque à entrer dans leur rave. Après deux ans de pandémie, la vue de ce groupe de corps dansants, emportés par la musique originale de Poirier et de Martin Tétreault, avait quelque chose de surnaturel. » Le Devoir - Caroline Montpetit
« Rhapsodie, c’est une série de tableaux minutés où les gestes, savamment effectués, font le tour du cadrant pour offrir à chaque spectateur la possibilité d’observer en détail les émotions de chaque interprète, le tout sous la musique entêtante de Martin Tétreault & Poirier. » patwhite.com - Thomas Bastien
« C’est un grand moment de joie. Le simple fait de voir 20 danseurs sur scène, c’est rare ! On n’est pas du tout dans le narratif, mais vraiment dans l’expérience d’une énergie partagée, qui nous emporte durant toute la durée du spectacle » Le Devoir - Léa Villalba
« Une Rhapsodie envoutante de Sylvain Émard » Pieuvre.ca - Sophie Jama
« Y transpire le bonheur de danser en groupe, de se toucher, d’interagir et de former un tout d’une harmonie énergique, douce et bienveillante à la fois. » Le Lien Multimédia - Yves Tremblay
« La tenue générale de la pièce, une heure sans interruption, vante son vocabulaire stable, l’histoire continue, sans origine ni destination, les rythmes bruts, en boucle, le frappé des mesures et les répétitions sérielles. La poésie des nombres, avec leur algèbre versant dans la géométrie, est une science pratique et positive, qui s’engendre sans nécessité de l’interpréter. » Revue JEU - Guylaine Massoutre
« L’étendue scénique n’est plus le simple terrain d’un spectacle comme tous les autres, mais celui d’un rituel collectif, une puissance autre qui se perd dans la nuit des temps. Comme si ce geste nous mène à jongler avec nos sens dissimulés. » kinoculturemontreal.com - Élie Castel